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Pour dépanner correctement il ne faut pas cinquante outils.

Il faut les bons.

Une seule clé USB bien préparée peut régler 90% des situations sans prise de tête.

Ventoy est devenu la base.

On met les fichiers ISO dessus et c’est tout.

On copie on redémarre et ça fonctionne.

C’est simple et efficace exactement ce qu’on attend quand on doit intervenir rapidement.

Ensuite je garde toujours WinPE Sergei Strelec et Hiren’s BootCD PE.

Ces environnements sauvent la mise quand un Windows refuse de démarrer.

On peut analyser le disque, récupérer des données, corriger une installation et vérifier l’état du matériel c’est le kit de secours incontournable.

Quand la machine ne veut plus rien savoir.

Pour tout ce qui est partitions GParted reste la référence.

Léger aucune fonction inutile.

On peut redimensionner, créer et supprimer sans stress.

Ça fait le boulot.

Clonezilla c’est pour les clones et les sauvegardes sérieuses.

L’interface n’est pas moderne mais l’outil est fiable.

Sauvegarder un disque avant une manipulation risquée, restaurer une image, migrer un système c'est parfait pour ça.

Dans un autre registre Kaisen Linux est devenu très pratique dès qu’il y a un souci réseau ou un diagnostic un peu avancé à faire.

Il intègre énormément d’outils système, réseau, forensic etc...

C’est clairement une distribution pensée pour les techniciens.

Et puis, il y a aussi quelques outils comme MAS Activator, Recuva, TransMac et Unshackle.

Pour activer Windows MAS est le meilleur outil comme cité dans un précédent article.

Recuva ses un logiciel simple d'utilisation qui permet par exemple de récupérer des photos supprimé.

TransMac permet de booter sur une clé USB les versions de MacOS comme Tahoe pour un ordinateur MacOS.

Unshackle est utile pour déverrouiller Windows sans le mot de passe fonctionne avec les versions antérieur à Windows 11.

Au final une bonne clé USB pour un technicien c’est un ensemble qui fonctionne.

On l’emporte partout on sait qu’elle fera le travail quand une machine commencera à poser problème.

Owncast fait partie de ces projets permettant de retrouver quelque chose de fondamental la liberté de diffuser sans permission.

Pendant des années le streaming a été confisqué par des plateformes gigantesques ou l’on ne possède jamais vraiment son espace.

Et puis un jour deux développeurs frustrés par cette dépendance permanente à des services centralisés ont décidé de créer leur propre outil.

Quelque chose de simple, léger, auto hébergé et surtout sans contraintes.

À la base l’idée était de rendre à n’importe qui la possibilité de diffuser comme on le faisait avant avec un simple serveur media.

Pas d’algorithme pas de publicité pas de politique opaque.

Juste un serveur de streaming vidéo que l’on contrôle de bout en bout.

Certains outils open source existaient déjà mais souvent trop complexes trop lourds ou conçus pour un usage professionnel très spécifique.

Owncast vise le juste milieu assez puissant pour tenir la route et accessible pour être déployé sur un serveur VPS.

Ce qui frappe chez Owncast c’est cette manière de ne jamais se mettre en scène.

Le projet avance avec une modestie presque désarmante.

sans bruit, sans marketing, sans tapage.

On sent clairement que l’objectif n’est pas d’attirer une horde d’utilisateurs mais de servir ceux qui ont réellement besoin d’un espace indépendant.

Chaque mise à jour respire cette philosophie un outil qui se contente d’être fiable et honnête.

Vous installer Owncast sur un serveur VPS et associer un nom de domaine.

Ensuite ajouter votre nom de domaine à Cloudflare même en plan gratuit ça vous protègera des attaques DDOS.

Ce qui surprend souvent les nouveaux utilisateurs c’est la qualité de l’interface intégrée.

On s’attend à quelque chose de technique.

Et pourtant Owncast accueille les visiteurs avec une page moderne, configurable et personnalisable ou l’on peut ajouter une description, un avatar, des liens, un chat en direct.

Rien n’est extravagant.

On sent que l’objectif n’est pas de rivaliser avec Twitch mais d’offrir quelque chose ou l’on n’est pas noyé dans un océan de recommandations et de distractions.

Puis Avec OBS vous configurer l’url RTMP avec la clé fournie par Owncast et le flux démarre.

Le projet évolue sans perdre son identité.

Les développeurs ajoutent sans cesse des améliorations mais toujours avec cette retenue élégante qui consiste à ne pas dénaturer l’outil.

L’âme du projet reste intacte offrir un streaming libre et indépendant.